1.699 Peñas Barcelonista
12/07/05 : Le FC Barcelone a intégré dans son recensement 35 nouvelles Peñas, ce qui fait parvenir leur nombre à 1.699.
Rappelons qu'un cinquième de ces peñas sont en inactivité, bien que le club ne les ait pas retiré de son regsitre dans l'attente d'une éventuelle réactivation. Parmi les récentes créations se trouvent la Peña del Congreso y del Senado à Madrid (peña de députés et de sénateurs espagnols), la Peña du Brésil, diverses du Maroc et de la Grèce, une de la capitale du Burkina Faso, pays africain, et une autre de Cuba.
La liste des Peñas marocaines :
1.666: Peña Barcelonista de Casablanca (Maroc).
1.667: Peña del FC Barcelona de Rabat (Maroc).
1.668: Peña del FC Barcelona de Chef-chaouen (Maroc).
1.699: Penya Barcelonista de Tánger (Maroc)
Source : Mundo Deportivo
Barcelone champion d'Espagne 2005
Le FC Barcelone a remporté samedi soir son premier titre de champion d'Espagne de football depuis 1999 grâce à son match nul 1-1 face au club de Levante.
A deux journées de la fin du championnat, le Barça, avec 82 points, devance son éternel rival, le Real Madrid, de six points au classement, et ne peut donc plus être rattrapé par les coéquipiers de Zinedine Zidane. Ces derniers ont fait match nul 2-2 samedi face à Séville.
L'équipe catalane a marqué à la 60e minute par son attaquant camerounais Samuel Eto'o, meilleur buteur de la Liga avec 24 réalisations cette année, qui a répondu Alberto Rivera qui avait ouvert le score pour Levante à la 35e.
Au coup de sifflet final, les joueurs Barcelonais, parmi lesquels figurent l'international français Ludovic Giuly, se sont félicités, l'attaquant brésilien Ronaldinho sautant de joie sur la ligne de touche et agitant un drapeau du club.
«C'est un grand moment. Le championnat a été difficile avec un très bon Madrid mais nous méritions vraiment de gagner. C'est la première fois pour moi, mais pas la dernière», a réagi le milieu portugais Deco à la radio nationale espagnole.
Il s'agit du 17e titre de champion d'Espagne de son histoire pour Barcelone. AP
Football: Barcelone champion d'Espagne 2005
MADRID (AP) - Le FC Barcelone a remporté samedi soir son premier titre de champion d'Espagne de football depuis 1999 grâce à son match nul 1-1 face au club de Levante.
A deux journées de la fin du championnat, le Barça, avec 82 points, devance son éternel rival, le Real Madrid, de six points au classement, et ne peut donc plus être rattrapé par les coéquipiers de Zinedine Zidane. Ces derniers ont fait match nul 2-2 samedi face à Séville.
L'équipe catalane a marqué à la 60e minute par son attaquant camerounais Samuel Eto'o, meilleur buteur de la Liga avec 24 réalisations cette année, qui a répondu Alberto Rivera qui avait ouvert le score pour Levante à la 35e.
Au coup de sifflet final, les joueurs Barcelonais, parmi lesquels figurent l'international français Ludovic Giuly, se sont félicités, l'attaquant brésilien Ronaldinho sautant de joie sur la ligne de touche et agitant un drapeau du club.
"C'est un grand moment. Le championnat a été difficile avec un très bon Madrid mais nous méritions vraiment de gagner. C'est la première fois pour moi, mais pas la dernière", a réagi le milieu portugais Deco à la radio nationale espagnole.
Il s'agit du 17e titre de champion d'Espagne de son histoire pour Barcelone.
Foot: Barca rencontre le Real
La 31e journée du Championnat d'Espagne de football est marquée par le "clasico" retour entre le Real Madrid, 2e, et le FC Barcelone, 1er avec neuf points d'avance, dimanche au stade Santiago-Bernabeu de Madrid. La saison dernière, avant de se rendre au Santiago-Bernabeu, pour le compte de la 34e journée, le Barça pointait à la 3e place du classement, à six longueurs du Real, alors deuxième. Les Catalans s'imposaient 2-1 à Madrid et faisaient les affaires du Valence CF, sacré champion à la fin de la saison. Cette fois, le titre se joue entre Barcelonais et Madrilènes, avec avantage pour les premiers, plus réguliers cette saison (seulement trois défaites contre huit pour le Real Madrid) et forts d'une avance de neuf points. La dernière fois que le FC Barcelone s'était déplacé au Santiago-Bernabeu en tant que leader et avec la même avance sur le Real, lors de la saison 1973-1974, il s'était imposé 5-0 et avait été sacré champion. Les Madrilènes, outre la possibilité d'entrevoir de nouveau le titre en cas de victoire, voudront laver l'affront de l'aller, corrigés à Barcelone (0-3) le 20 novembre 2004, pour le compte de la 12e journée. La 31e journée de la Liga propose par ailleurs un duel de postulants pour la Ligue des champions, entre l'Espanyol Barcelone (5e) et le FC Séville (6e), tous deux avec 49 points, à une longueur de la troisième place occupée par Villarreal. Villarreal justement, battu jeudi à domicile en quart de finale aller de la Coupe de l'UEFA par les Néerlandais d'Alkmaar (1-2), sera en danger à La Corogne face au Deportivo. Le Betis Séville (4e avec 49 points), qui reçoit Levante (15e), sera à l'affût. "Nous voulons et nous allons réduire l'écart avec le FC Barcelone", déclarait jeudi en conférence de presse le milieu français Zinédine Zidane, suspendu lors de la dernière journée à Albacete (2-1). "Nous sommes à neuf points, mais dimanche nous voulons être à six. Nous allons tout donner pour tenter de gagner la rencontre", ajoutait Zidane. En cas de victoire dimanche, les Madrilènes reviendraient à "deux matches" des Catalans avec sept journées et 21 points à disputer. Mais corrigé 3-0 le 20 novembre 2004 à Barcelone (12e journée), le Real devra battre le Barça sur un score plus large pour être devant en cas d'égalité de points. "Le plus important est de gagner et après nous verrons pour le +goal average+. Gagner 1-0 serait un bon résultat", nuançait toutefois Zidane. De son côté le Barça, à l'image de l'attaquant camerounais Samuel Eto'o, viendra à Madrid pour repousser le Real à 12 points. "Quand j'entre sur un terrain c'est toujours pour gagner et ce ne sera pas différent contre le Real Madrid", prévenait le meilleur buteur du Championnat d'Espagne (21 buts). "C'est un match de plus, une finale de plus qu'il faudra jouer pour gagner", poursuivait Eto'o, ancien joueur du Real Madrid régulièrement prêté (à Leganes, l'Espanyol Barcelone et Majorque). Dimanche, le Camerounais ne pourra pas compter sur le gros travail habituellement réalisé en milieu de terrain par l'international portugais Deco, suspendu. L'entraîneur du Barça, Frank Rijkaard, espère que son défenseur et capitaine, Carles Puyol (cheville), tout comme son attaquant brésilien Ronaldinho (gastro-entérite) seront remis. Son homologue du Real Madrid, Vanderlei Luxemburgo, devra se passer du défenseur argentin Walter Samuel et du milieu espagnol Guti, tous deux suspendus, alors que l'attaquant de l'équipe d'Espagne, Raul, est incertain. Pour remplacer Samuel au côté d'Ivan Helguera, l'entraîneur brésilien fera confiance à Francisco Pavon, titulaire lors du "clasico" aller et dont le dernier match dans le onze de départ remonte à la 25e journée et une défaite 2-0 à La Corogne face au Deportivo. Mais à Barcelone et en Galice, Pavon était associé à Samuel. La charnière Pavon-Helguera est quant à elle invaincue: deux victoires en deux matches. | |
CLASICO - Real Madrid-Fc Barcelone (dimanche, 17h) : Le dernier train
Le Real Madrid a souvent eu beaucoup à gagner dans ses duels face au Fc Barcelone. Mais cette fois, lors de la 31e journée de la Liga, les Merengue auront surtout beaucoup à perdre contre l’ennemi catalan. Il ne faut pas se leurrer : seule une victoire pourrait permettre aux coéquipiers de Zinédine Zidane de s’accrocher à l’espoir bien lointain de revenir dans la lutte pour le titre.
«C’est un match crucial. Nous avons besoin de gagner parce que dans le cas contraire, nous devrons dire adieu au championnat.» Evidemment surmotivé, Ivan Helguera connaît parfaitement l’enjeu de ce Clasico. Le défenseur international du Real résume parfaitement la situation comptable. Le Real Madrid, bouté hors de la Ligue des Champions mais aussi de la Coupe du Roi, n’a plus qu’un objectif en tête : la Liga. Et à n’en pas douter, les points semés en route sur tous les terrains d’Espagne pèsent aujourd’hui très lourd. Le titre paraît aujourd’hui bien lointain, mais il faut gagner, car un Clasico ne se prend jamais à la légère.
“Nous voulons et nous allons réduire l’écart avec le Fc Barcelone. Nous sommes à neuf points, mais dimanche nous voulons être à six. Nous allons tout donner pour tenter de gagner la rencontre”, déclarait jeudi en conférence de presse le milieu français Zinédine Zidane, suspendu lors de la dernière journée à Albacete (2-1). En cas de victoire dimanche, les Madrilènes reviendraient à “deux matches” des Catalans avec sept journées et 21 points à disputer.
Mais corrigé 3-0 le 20 novembre 2004 à Barcelone (12e journée), le Real devra battre le Barça sur un score plus large pour être devant en cas d’égalité de points. “Le plus important est de gagner et après nous verrons pour le goal-average. Gagner 1-0 serait un bon résultat”, nuançait toutefois Zidane.
Le défi est de taille, car les Blaugrana ont jusqu’à présent fait preuve d’une solidité impressionnante. “Contre les grands : Valence, Juve ou Atletico, nous avons évolué à un bon niveau”, se souvient cependant Helguera qui formera avec Pavon la charnière centrale. Un point qui a son importance face à des attaquants du calibre de Samuel Eto’o, Ronaldinho ou Giuly... La suspension de Walter Samuel vaut très cher, car sa puissance n’aurait pas été de trop pour contrer l’attaque catalane. A Pavon de jouer dans son registre avec davantage de mouvement et de vitesse ; ce qui, au fond, sera sans doute utile face au supersonique Eto’o... Le nom de l’ancien pensionnaire de la «Maison Blanche» revient d’ailleurs avec insistance lorsqu’on évoque ce Clasico, comme c’était déjà le cas lors du match aller. Et pour cause : voir filer un joueur à moitié sous contrat avec le Real au Barça est déjà dur à vivre. Quand en plus, celui-ci est meilleur buteur du championnat la saison suivante, le camouflet devient encore plus compliqué à digérer. “Je ne me préoccupe pas d’Eto’o, mais de toute l’équipe de Barcelone. Ils jouent en équipe et pas uniquement avec un joueur. Il est très fort, c’est le Pichichi. Mais je n’oublie pas non plus Ronaldinho ou Xavi”, répond Wanderlei Luxemburgo à Marca.
“Quand j’entre sur un terrain, c’est toujours pour gagner et ce ne sera pas différent contre le Real Madrid. C’est un match de plus, une finale de plus qu’il faudra jouer pour gagner”, poursuivait Eto’o, ancien joueur du Real Madrid régulièrement prêté (à Leganes, l’Espanyol Barcelone et Majorque).
Dimanche, le Camerounais ne pourra pas compter sur le gros travail habituellement réalisé en milieu de terrain par l’international portugais Deco, suspendu.
Ronaldinho, souffrant d’une gastro-entérite en début de semaine, a manqué l’entraînement de mercredi, mais sa présence à Madrid est quasiment assurée. De même, Carles Puyol, le capitaine du Barça, effectuera à cette occasion son retour. Un renfort de poids pour la défense des Blaugrana quelque peu “lâche” pendant son absence comme en attestent les trois buts concédés face au Betis Séville la semaine passée (3-3). Du côté du Real, le retour du capitaine, Raul, est attendu. Touché face à Malaga, il avait manqué la rencontre face à Albacete (1-0).
Les deux compères de la Furia vont ainsi apporter un surplus de paillettes à une rencontre déjà pleine d’étoiles. Un Clasico avec le titre pour enjeu, tout du moins pour le Barça, voilà qui ne manque pas de piment. Pour Madrid, tout l’enjeu reste de savoir si la course au titre va s’arrêter dimanche...
Source : www.lequotidien.sn
Visite du Barça au Maroc (Articles d'El Mundo Deportivo, 21-24/03/2005)
Source : FC Barcelona Calan Le sujet spécial sur la visite du Barça au Maroc en cliquant ici |
Le président Joan Laporta demain à Casablanca
Une ville à tradition barcelonnaise depuis la Triplette du Wydad
M. Joan Laporta, président du prestigieux club espagnol, leader du championnat espagnol achèvera sa visite, demain mercredi, à Casablanca. M. Laporta rencontrera des dirigeants du football casablancais et relancera la coopération hispano-marocaine, en matière de football des jeunes.
M.Laporta viendra en terrain conquis, dans une ville qui a eu de grandes relations, dans son histoire, avec le grand club espagnol et particulièrement en Coupe Mohammed V. On rappellera que la capitale économique avait servi de terrain, à un beau derby, entre l'Athlético de Madrid et le FC Barcelone, à l'occasion de la Coupe Mohammed V et où le Barça avait gagné, à l'issue des tirs au but.
C'était en 1967-68.
La deuxième visite du Barça a eu lieu grâce au Wydad et à Abderrazak Mekouar, à l'époque président du club qui a le plus animé la Coupe Mohammed V, aux côtés de l'équipe des FAR.
Et quand on parle de Coupe Mohammed V, on pense spontanément à un grand du football national, feu Ahmed Antifit du RAC, amoureux à la folie du FC Barcelone, jusqu'à faire porter les couleurs du club espagnol au RAC, avec Mendoza comme capitaine d'équipe. Mais pour l'histoire du football national, on rappellera que Larbi Benbarek a joué pour l'Atletico de Madrid, tout autant que Abderrazak Allam en volley-ball et Abdellah Antaki à Malaga, qui lui vaut d'ailleurs son surnom de Abdellah Malaga. Abderrazak Allam, lui, est président de l'Association des supporters du Réal Madrid au Maroc, tandis que Hamid Souiri, président du Raja est vice-président des supporters du Barça dans le Royaume.
Ce qu'on ne sait pas, par contre, c'est que la Triplette du Wydad, constituée de Driss Joumad, feu Chtouki et feu Abdeslam, avait été sollicitée, dans les années quarante, pour jouer au FC Barcelone. La Triplette, entrée dans l'histoire du football mondial, à l'exception de l'Amérique Latine, faute de communication à l'époque, était très sollicitée par les meilleurs clubs européens. Le FC Barcelone avait offert, à l'époque 30 millions, une somme gigantesque qui équivaudrait aux milliards de nos jours. Mais c'est le Prince Moulay Hassan, feu SM Hassan II, qui s'était opposé au transfert des joueurs de la Triplette et s'était engagé à débourser la somme de son argent personnel. Le Roi défunt avait même tenu une réunion avec les dirigeants et les joueurs du WAC, dont Abdeslam pour lequel il avait une grande affection, pour leur rappeler le rôle réel du WAC, était d'abord au service de la cause nationale et l'indépendance du pays et non des transferts juteux. Le Prince Moulay Hassan avait peur que le départ de la Triplette ne mette fin aux exploits du WAC, flambeau du mouvement national, dans les compétitions d'Afrique du Nord, où les peuples du Maghreb s¹identifiaient à cette équipe «indigène», qui battait les équipes européennes et particulièrement les clubs alliés à la Résidence et aux autorités du Protectorat.
Voilà pour Barcelone, qui aurait certainement réussi d'autres exploits si la Triplette avait évolué au club de Cruijf, Reejkard et autres Gaillego, Martial et aujourd'hui Eto'o et Ronaldinho. M. Laporta acceptera-t-il le voeu des socios marocains du Barça de faire venir le leader du championnat espagnol au Maroc ?
Il est sûr que beaucoup de gens en rêvent et le souhaitent, car si le WAC a été politiquement engagé, contre les autorités coloniales, le Barça, lui, a combattu le franquisme, du temps de la dictature et a toujours été mal vu par le général Franco. D'ailleurs, quand le Barça battait le Réal, à l'époque des Perri et Gento, on y voyait une victoire de la démocratie contre le club préféré de Franco. Un point qui fait que le Barça est encore plus populaire parmi les associations de défense des droits de l'Homme, de la démocratie et du mouvement des Républicains espagnols, qui ont perdu la guerre civile, au profit du général dictateur.
Mais ce qu'on retiendra, avec cette visite de M. Laporta, c'est que beaucoup de Wydadis et de Rajaouis optent, enfin, pour une même couleur, ils oublient le rouge et le vert, pour la couleur du FC Barcelone. Wydadis et Rajaouis, même combat, qui l'aurait jamais cru.
Belaïd BOUIMID Source : www.albayane.ma[b][/b]