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FC Barcelona - The Best in the World

13 mai 2006

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7 mai 2006

Photos du match FC Barcelona - Espagnol (2-0)

Photos du match FC Barcelona - Espagnol (2-0)

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30 avril 2006

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14 juillet 2005

1.699 Peñas Barcelonista

12/07/05 : Le FC Barcelone a intégré dans son recensement 35 nouvelles Peñas, ce qui fait parvenir leur nombre à 1.699.

Rappelons qu'un cinquième de ces peñas sont en inactivité, bien que le club ne les ait pas retiré de son regsitre dans l'attente d'une éventuelle réactivation. Parmi les récentes créations se trouvent la Peña del Congreso y del Senado à Madrid (peña de députés et de sénateurs espagnols), la Peña du Brésil, diverses du Maroc et de la Grèce, une de la capitale du Burkina Faso, pays africain, et une autre de Cuba.

La liste des Peñas marocaines :

1.666: Peña Barcelonista de Casablanca (Maroc).

1.667: Peña del FC Barcelona de Rabat (Maroc).

1.668: Peña del FC Barcelona de Chef-chaouen (Maroc).

1.699: Penya Barcelonista de Tánger (Maroc)

Source : Mundo Deportivo

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15 mai 2005

BARCA CAMPEON 2005 !!!

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14 mai 2005

Barcelone champion d'Espagne 2005

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Le FC Barcelone a remporté samedi soir son premier titre de champion d'Espagne de football depuis 1999 grâce à son match nul 1-1 face au club de Levante.
A deux journées de la fin du championnat, le Barça, avec 82 points, devance son éternel rival, le Real Madrid, de six points au classement, et ne peut donc plus être rattrapé par les coéquipiers de Zinedine Zidane. Ces derniers ont fait match nul 2-2 samedi face à Séville.
L'équipe catalane a marqué à la 60e minute par son attaquant camerounais Samuel Eto'o, meilleur buteur de la Liga avec 24 réalisations cette année, qui a répondu Alberto Rivera qui avait ouvert le score pour Levante à la 35e.
Au coup de sifflet final, les joueurs Barcelonais, parmi lesquels figurent l'international français Ludovic Giuly, se sont félicités, l'attaquant brésilien Ronaldinho sautant de joie sur la ligne de touche et agitant un drapeau du club.
«C'est un grand moment. Le championnat a été difficile avec un très bon Madrid mais nous méritions vraiment de gagner. C'est la première fois pour moi, mais pas la dernière», a réagi le milieu portugais Deco à la radio nationale espagnole.
Il s'agit du 17e titre de champion d'Espagne de son histoire pour Barcelone. AP

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Football: Barcelone champion d'Espagne 2005

MADRID (AP) - Le FC Barcelone a remporté samedi soir son premier titre de champion d'Espagne de football depuis 1999 grâce à son match nul 1-1 face au club de Levante.

A deux journées de la fin du championnat, le Barça, avec 82 points, devance son éternel rival, le Real Madrid, de six points au classement, et ne peut donc plus être rattrapé par les coéquipiers de Zinedine Zidane. Ces derniers ont fait match nul 2-2 samedi face à Séville.

L'équipe catalane a marqué à la 60e minute par son attaquant camerounais Samuel Eto'o, meilleur buteur de la Liga avec 24 réalisations cette année, qui a répondu Alberto Rivera qui avait ouvert le score pour Levante à la 35e.

Au coup de sifflet final, les joueurs Barcelonais, parmi lesquels figurent l'international français Ludovic Giuly, se sont félicités, l'attaquant brésilien Ronaldinho sautant de joie sur la ligne de touche et agitant un drapeau du club.

"C'est un grand moment. Le championnat a été difficile avec un très bon Madrid mais nous méritions vraiment de gagner. C'est la première fois pour moi, mais pas la dernière", a réagi le milieu portugais Deco à la radio nationale espagnole.

Il s'agit du 17e titre de champion d'Espagne de son histoire pour Barcelone.

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9 avril 2005

Foot: Barca rencontre le Real

La 31e journée du Championnat d'Espagne de football est marquée par le "clasico" retour entre le Real Madrid, 2e, et le FC Barcelone, 1er avec neuf points d'avance, dimanche au stade Santiago-Bernabeu de Madrid.

La saison dernière, avant de se rendre au Santiago-Bernabeu, pour le compte de la 34e journée, le Barça pointait à la 3e place du classement, à six longueurs du Real, alors deuxième.

Les Catalans s'imposaient 2-1 à Madrid et faisaient les affaires du Valence CF, sacré champion à la fin de la saison.

Cette fois, le titre se joue entre Barcelonais et Madrilènes, avec avantage pour les premiers, plus réguliers cette saison (seulement trois défaites contre huit pour le Real Madrid) et forts d'une avance de neuf points.

La dernière fois que le FC Barcelone s'était déplacé au Santiago-Bernabeu en tant que leader et avec la même avance sur le Real, lors de la saison 1973-1974, il s'était imposé 5-0 et avait été sacré champion.

Les Madrilènes, outre la possibilité d'entrevoir de nouveau le titre en cas de victoire, voudront laver l'affront de l'aller, corrigés à Barcelone (0-3) le 20 novembre 2004, pour le compte de la 12e journée.

La 31e journée de la Liga propose par ailleurs un duel de postulants pour la Ligue des champions, entre l'Espanyol Barcelone (5e) et le FC Séville (6e), tous deux avec 49 points, à une longueur de la troisième place occupée par Villarreal.

Villarreal justement, battu jeudi à domicile en quart de finale aller de la Coupe de l'UEFA par les Néerlandais d'Alkmaar (1-2), sera en danger à La Corogne face au Deportivo.

Le Betis Séville (4e avec 49 points), qui reçoit Levante (15e), sera à l'affût.

"Nous voulons et nous allons réduire l'écart avec le FC Barcelone", déclarait jeudi en conférence de presse le milieu français Zinédine Zidane, suspendu lors de la dernière journée à Albacete (2-1).

"Nous sommes à neuf points, mais dimanche nous voulons être à six. Nous allons tout donner pour tenter de gagner la rencontre", ajoutait Zidane.

En cas de victoire dimanche, les Madrilènes reviendraient à "deux matches" des Catalans avec sept journées et 21 points à disputer.

Mais corrigé 3-0 le 20 novembre 2004 à Barcelone (12e journée), le Real devra battre le Barça sur un score plus large pour être devant en cas d'égalité de points.

"Le plus important est de gagner et après nous verrons pour le +goal average+. Gagner 1-0 serait un bon résultat", nuançait toutefois Zidane.

De son côté le Barça, à l'image de l'attaquant camerounais Samuel Eto'o, viendra à Madrid pour repousser le Real à 12 points.

"Quand j'entre sur un terrain c'est toujours pour gagner et ce ne sera pas différent contre le Real Madrid", prévenait le meilleur buteur du Championnat d'Espagne (21 buts).

"C'est un match de plus, une finale de plus qu'il faudra jouer pour gagner", poursuivait Eto'o, ancien joueur du Real Madrid régulièrement prêté (à Leganes, l'Espanyol Barcelone et Majorque).

Dimanche, le Camerounais ne pourra pas compter sur le gros travail habituellement réalisé en milieu de terrain par l'international portugais Deco, suspendu.

L'entraîneur du Barça, Frank Rijkaard, espère que son défenseur et capitaine, Carles Puyol (cheville), tout comme son attaquant brésilien Ronaldinho (gastro-entérite) seront remis.

Son homologue du Real Madrid, Vanderlei Luxemburgo, devra se passer du défenseur argentin Walter Samuel et du milieu espagnol Guti, tous deux suspendus, alors que l'attaquant de l'équipe d'Espagne, Raul, est incertain.

Pour remplacer Samuel au côté d'Ivan Helguera, l'entraîneur brésilien fera confiance à Francisco Pavon, titulaire lors du "clasico" aller et dont le dernier match dans le onze de départ remonte à la 25e journée et une défaite 2-0 à La Corogne face au Deportivo.

Mais à Barcelone et en Galice, Pavon était associé à Samuel. La charnière Pavon-Helguera est quant à elle invaincue: deux victoires en deux matches.

Sourrce : www.amadoo.com

9 avril 2005

CLASICO - Real Madrid-Fc Barcelone (dimanche, 17h) : Le dernier train

Le Real Madrid a souvent eu beaucoup à gagner dans ses duels face au Fc Barcelone. Mais cette fois, lors de la 31e journée de la Liga, les Merengue auront surtout beaucoup à perdre contre l’ennemi catalan. Il ne faut pas se leurrer : seule une victoire pourrait permettre aux coéquipiers de Zinédine Zidane de s’accrocher à l’espoir bien lointain de revenir dans la lutte pour le titre.

«C’est un match crucial. Nous avons besoin de gagner parce que dans le cas contraire, nous devrons dire adieu au championnat.» Evidemment surmotivé, Ivan Helguera connaît parfaitement l’enjeu de ce Clasico. Le défenseur international du Real résume parfaitement la situation comptable. Le Real Madrid, bouté hors de la Ligue des Champions mais aussi de la Coupe du Roi, n’a plus qu’un objectif en tête : la Liga. Et à n’en pas douter, les points semés en route sur tous les terrains d’Espagne pèsent aujourd’hui très lourd. Le titre paraît aujourd’hui bien lointain, mais il faut gagner, car un Clasico ne se prend jamais à la légère.

“Nous voulons et nous allons réduire l’écart avec le Fc Barcelone. Nous sommes à neuf points, mais dimanche nous voulons être à six. Nous allons tout donner pour tenter de gagner la rencontre”, déclarait jeudi en conférence de presse le milieu français Zinédine Zidane, suspendu lors de la dernière journée à Albacete (2-1). En cas de victoire dimanche, les Madrilènes reviendraient à “deux matches” des Catalans avec sept journées et 21 points à disputer.

Mais corrigé 3-0 le 20 novembre 2004 à Barcelone (12e journée), le Real devra battre le Barça sur un score plus large pour être devant en cas d’égalité de points. “Le plus important est de gagner et après nous verrons pour le goal-average. Gagner 1-0 serait un bon résultat”, nuançait toutefois Zidane.

Le défi est de taille, car les Blaugrana ont jusqu’à présent fait preuve d’une solidité impressionnante. “Contre les grands : Valence, Juve ou Atletico, nous avons évolué à un bon niveau”, se souvient cependant Helguera qui formera avec Pavon la charnière centrale. Un point qui a son importance face à des attaquants du calibre de Samuel Eto’o, Ronaldinho ou Giuly... La suspension de Walter Samuel vaut très cher, car sa puissance n’aurait pas été de trop pour contrer l’attaque catalane. A Pavon de jouer dans son registre avec davantage de mouvement et de vitesse ; ce qui, au fond, sera sans doute utile face au supersonique Eto’o... Le nom de l’ancien pensionnaire de la «Maison Blanche» revient d’ailleurs avec insistance lorsqu’on évoque ce Clasico, comme c’était déjà le cas lors du match aller. Et pour cause : voir filer un joueur à moitié sous contrat avec le Real au Barça est déjà dur à vivre. Quand en plus, celui-ci est meilleur buteur du championnat la saison suivante, le camouflet devient encore plus compliqué à digérer. “Je ne me préoccupe pas d’Eto’o, mais de toute l’équipe de Barcelone. Ils jouent en équipe et pas uniquement avec un joueur. Il est très fort, c’est le Pichichi. Mais je n’oublie pas non plus Ronaldinho ou Xavi”, répond Wanderlei Luxemburgo à Marca.

“Quand j’entre sur un terrain, c’est toujours pour gagner et ce ne sera pas différent contre le Real Madrid. C’est un match de plus, une finale de plus qu’il faudra jouer pour gagner”, poursuivait Eto’o, ancien joueur du Real Madrid régulièrement prêté (à Leganes, l’Espanyol Barcelone et Majorque).

Dimanche, le Camerounais ne pourra pas compter sur le gros travail habituellement réalisé en milieu de terrain par l’international portugais Deco, suspendu.

Ronaldinho, souffrant d’une gastro-entérite en début de semaine, a manqué l’entraînement de mercredi, mais sa présence à Madrid est quasiment assurée. De même, Carles Puyol, le capitaine du Barça, effectuera à cette occasion son retour. Un renfort de poids pour la défense des Blaugrana quelque peu “lâche” pendant son absence comme en attestent les trois buts concédés face au Betis Séville la semaine passée (3-3). Du côté du Real, le retour du capitaine, Raul, est attendu. Touché face à Malaga, il avait manqué la rencontre face à Albacete (1-0).

Les deux compères de la Furia vont ainsi apporter un surplus de paillettes à une rencontre déjà pleine d’étoiles. Un Clasico avec le titre pour enjeu, tout du moins pour le Barça, voilà qui ne manque pas de piment. Pour Madrid, tout l’enjeu reste de savoir si la course au titre va s’arrêter dimanche...

Source : www.lequotidien.sn

27 mars 2005

Visite du Barça au Maroc (Articles d'El Mundo Deportivo, 21-24/03/2005)

Joan Laporta rapprochera un peu plus le FC Barcelone du Maroc à partir d’aujourd’hui. Le président du club azulgrana mène une expédition qui ce matin a atterri sur le pays nord-africain et où font également partie de cette expédition Alfons Godall, vice-président de la parcelle sociale ; Xavier Cambra, secrétaire et porte parole de la direction ; et Alejandro Echeverria, responsable de la sécurité. A partir d’aujourd’hui et jusqu’à mercredi, l'expédition barcelonaise inaugurera 4 peñas dans différentes localités du Maroc. Le voyage institutionnel, qui se réalise conjointement avec des représentants de la Generalitat de Catalogne et de la Mairie de Barcelone, servira également pour établir différents accords de collaboration avec des institutions locales.

L’expédition a atterri aujourd’hui à Casablanca, où elle se déplacera jusqu’à Rabat. Cet après-midi était programmé des visites à la Fédération Royale de football (16.30) et au Secrétariat Général du Sport (17.30) avant d’inaugurer la Peña barcelonista de Rabat (18.30).

Joan Laporta et le reste de l’expédition se déplaceront demain à Chefchaouen, où à 16.30, ils inaugureront la Peña barcelonista de Chefchaouen. A 17.00, nouveau voyage à Tanger pour en faire de même à 19.30 avec la Peña barcelonista de Tanger dans une nouvelle journée intense.

Mercredi, ils reviendront tous à Casablanca pour inaugurer à 19.30 heures la Peña barcelonista de Casablanca, dernier acte au Maroc avant de retourner à Barcelone.




Après chaque inauguration des peñas à Rabat, Chefchaouen, Tanger et Casablanca sera procédée à la signature des accords de coopération et de soutien des enfants du Maroc au football et au sport entre les mairies de chacune des villes mentionnées et la mairie de Barcelone.

De plus, le FC Barcelone signera un document de soutien avec l'engagement d'aider au développement du Maroc à travers le sport.




Mardi 22 mars 2005 :


Joan Laporta a initié hier son voyage institutionnel de trois jours au Maroc pour étendre les rapports entre le Barça et le sport de ce pays. Avec l'illusion d'avoir garanti le commandement de la Liga et très orgueilleux du rendement de l'équipe, le président du Barça a remercié à l'aéroport d'El Prat, avant d'entreprendre son voyage, l'effort des joueurs dans cette dernière ligne droite de la saison et a remarqué la prestation de Victor Valdés, "le meilleur gardien de but d'Europe", a-t-il assuré.

Source : FCBarcelona Clan

Cadeau au premier ministre

Le président est accompagné dans cette mini-tournée au Maroc par les dirigeants Alfons Godall, Xavier Cambra et Alejandro Echeverria, en plus d'une représentation de la Generalitat et de la mairie de Barcelone. L'expédition a été reçue à Rabat par le premier ministre marocain, Driss Jettou, à qui il a offert un maillot du Barça avec son nom floqué. Les deux mandataires ont maintenu une discussion enthousiaste pendant plus d'une heure, dans laquelle Laporta lui a révélé que sa belle-mère est née dans la ville de Rabat.

Le président a assuré qu'au Maroc on suit le Barça avec beaucoup d'intérêt et a réitéré le grand travail de l'effectif sur le vers le chemin du titre : "Je suis très satisfait de la manière dont répond l'équipe. Samedi contre le Depor ils ont démontré une très grande illusion pour gagner la Liga. L'effort a été fabuleux et je suis très reconnaissant envers toute l'équipe", a signalé le président, qui a souligné la qualité défensive de l'effectif et surtout de Víctor Valdés, de qui il a assuré que "si j'étais sélectionneur, je le convoquerais".

Il n'y a pas que le gardien catalan qui a remporté les éloges de son président. Egalement Ronaldinho, un autre des grands protagonistes de cette saison, a reçu les applaudissements de Laporta, puisque "il continue à être le leader de cette équipe. Il est l'un des grands artisans pour lequel le Barça puisse gagner la Liga. Il a eu la générosité de se livrer pour le bien de l'équipe et nous évaluons beaucoup ceci".

Folie à la Penya de Rabat

À peine arrivée à Rabat, l'expédition a visité la 'Federation Royale de Football' du Maroc, où il a établi un début d'accord pour créer des écoles de football pour les jeunes valeurs du pays. Ensuite, elle a visité le Secrétariat Général du Sport pour traiter divers projets de coopération et de développement. Et à la dernière minute dans l'après-midi, Laporta a inauguré la Penya Barcelonista de Rabat, que préside Mokhtar Alaui, acte qui a libéré l'enthousiasme d'environ 60 membres présents, tous Marocains.

Source : Mundo Deportivo


Tanger acclame Laporta

Après une matinée triomphale à Chefchaouen, où l'ont reçu 4.000 personnes…

Article du 23 mars 2005 :
Comme le plus grand crack médiatique, hier, dans son second jour au Maroc, Joan Laporta s'est donné un bain de foule. La journée s'est terminée à Tanger, où il a été acclamé par des centaines de Barcelonistas qui se sont concentrés à l'hôtel Mavenpick, dans un dîner de gala, après avoir inauguré la peña de la ville.

Le matin, dans la touristique Chefchaouen, plus de 4.000 personnes se sont pressées pour saluer le président azulgrana, lui solliciter un autographe ou qu'une photographie se fasse pour garder un souvenir. Laporta a remercié l'hospitalité du village marocain après avoir partagé la culture et les traditions locales. Il n'a pas hésité à tester la gastronomie typique de la zone -purée de fèves, fruits secs et yoghourt artisanal- et il a même dansé avec ses hôtes une danse berbère.

Une journée frénétique

Accompagné des dirigeants Alfons Godall, Alejandro Echeverria et Xavier Cambra et par une représentation de la mairie de Barcelone et de la Generalitat de Catalunya, le président du Barça a vécu hier une journée frénétique. Le matin il a visité Chefchaouen, ville où il a été reçu par le Ministre des Relations Institutionnelles et maire de cette localité, Mohamed Saad El Alami et son épouse. L'expédition a été invitée à un déjeuner animé à tout moment par un groupe de danse et a réalisé ensuite un circuit dans le quartier ancien de Chefchaouen, la Médina. Le parcours s'est conclu par une visite à la naissance d'une source, l'un des endroits les plus beaux de la région.

Déjà dans l'après-midi, le président a inauguré la peña Barcelonista de Chefchaouen. Après cet acte s'est effectué la signature des accords entre les Mairies. Laporta a offert au ministre El Alami un maillot du Barça avec son nom floqué et le président a reçu un gâteau dans un échange amusant. Une autre surprise l'attendait encore : une rencontre de football entre deux équipes formées par de jeunes valeurs, dont l'une revêtait le maillot azulgrana. Ce fut encore une preuve de la passion universelle que suscite le Barça.

L'euphorie a été si importante que la police et même l'armée marocaine ont dû coordonner le passage de Laporta. Les mêmes scènes se sont répétées à Tanger, ville qui a beaucoup de sympathisants barcelonais. Les hôtes ont été le président de la peña de Tanger et le président du club local, l'IRT, qui est culé. Comme donnée curieuse, l'ex azulgrana Serna entraînait cette équipe il y a encore quelques semaines.

La Catalogne et le Maroc joueront une rencontre au Camp Nou

Laporta a annoncé hier durant sa visite que, si tout va bien, dans peu de temps pourrait se disputer une rencontre amicale au Camp Nou entre les sélections catalanes et marocaines. Le président a réalisé ce voyage institutionnel pour étendre des liens entre les 2 pays, avec la signature d'accords déterminés pour l'aide et le développement du sport au Maroc, qui incluent la création d'écoles de football. La célébration de cette rencontre serait un pas en avant dans cette initiative.


Source : Mundo Deportivo


Le Maroc veut une Liga pour le Barça

Le président Laporta a visité Tanger et Casablanca, où il a inauguré la quatrième penya barcelonista, dans une nouvelle journée d'euphorie azulgrana…

Article du 24 mars 2005 :

Joan Laporta a de nouveau vécu une nouvelle journée d'euphorie barcelonaise au Maroc. Les villes de Tanger et de Casablanca ont été paralysées durant toute la journée pour voir passer l'expédition azulgrana, féliciter le président et ovationner les représentants d'une équipe leader de la Liga espagnole et remplie de cracks qui soulèvent les passions partout où elle va. L'expédition barcelonaise a conclu ainsi son périple au Maroc, bien que Laporta ait annoncé qu'il a prévu de rester quelques jours de plus avec sa famille pour se reposer et se détendre après cette mini-tournée institutionnelle de trois jours.

Une possible cantera

La journée d'hier s'est initiée à la première heure du matin à Tanger, avec la visite de différentes installations sportives où l'on a pu voir des jeunes talents du football marocain. Cette possible cantera n'est pas passée inaperçue pour Laporta : "J'espère que le Barça aura un jour une école de football dans cette ville", a-t-il souhaité.

A nouveau des milliers de sympathisants de ce pays se sont rassemblés pour recevoir en bonne et due forme l'expédition barcelonaise. "Pourvu que le FC Barcelone gagne la Liga cette année", a déclaré un fan. Les autres l'ont accompagné au cri de 'Barça, Barça.' À nouveau s'est vécue une explosion totale de Barcelonisme.
Le président a recouru les rues de la belle ville de Tanger accompagné des dirigeants Alfons Godall, Xavier Cambra et Alejandro Echeverria, sans arrêter d'être acclamé. Après le trajet touristique, s'est réalisé l'habituelle signature d'accords entre les mairies des deux villes pour une mutuelle coopération. Comme les jours antérieurs, le président a apporté avec lui un maillot du Barça, qu'il a offert au Gouverneur Civil de Tanger, M. Hallab.

Et enfin le soir, l'expédition s'est déplacée jusqu'à Casablanca, où a eu lieu l'inauguration de la Penya Barcelonista de Casablanca, la quatrième créée durant ce voyage, avec le postérieur dîner de gala.

Bilan prospère

Laporta ne s'est pas lassé de répéter que "la réception que nous avons reçue a été spectaculaire ces jours-ci au Maroc" et s'est félicité pour le bilan prospère de ce voyage. L'expédition azulgrana a pu constater la dimension du club dans le monde.

Source : Mundo Deportivo


Source : FC Barcelona Calan
Le sujet spécial sur la visite du Barça au Maroc en cliquant ici
22 mars 2005

Le président Joan Laporta demain à Casablanca

Une ville à tradition barcelonnaise depuis la Triplette du Wydad

M. Joan Laporta, président du prestigieux club espagnol, leader du championnat espagnol achèvera sa visite, demain mercredi, à Casablanca. M. Laporta rencontrera des dirigeants du football casablancais et relancera la coopération hispano-marocaine, en matière de football des jeunes.

M.Laporta viendra en terrain conquis, dans une ville qui a eu de grandes relations, dans son histoire, avec le grand club espagnol et particulièrement en Coupe Mohammed V. On rappellera que la capitale économique avait servi de terrain, à un beau derby, entre l'Athlético de Madrid et le FC Barcelone, à l'occasion de la Coupe Mohammed V et où le Barça avait gagné, à l'issue des tirs au but.

C'était en 1967-68.

La deuxième visite du Barça a eu lieu grâce au Wydad et à Abderrazak Mekouar, à l'époque président du club qui a le plus animé la Coupe Mohammed V, aux côtés de l'équipe des FAR.

Et quand on parle de Coupe Mohammed V, on pense spontanément à un grand du football national, feu Ahmed Antifit du RAC, amoureux à la folie du FC Barcelone, jusqu'à faire porter les couleurs du club espagnol au RAC, avec Mendoza comme capitaine d'équipe. Mais pour l'histoire du football national, on rappellera que Larbi Benbarek a joué pour l'Atletico de Madrid, tout autant que Abderrazak Allam en volley-ball et Abdellah Antaki à Malaga, qui lui vaut d'ailleurs son surnom de Abdellah Malaga. Abderrazak Allam, lui, est président de l'Association des supporters du Réal Madrid au Maroc, tandis que Hamid Souiri, président du Raja est vice-président des supporters du Barça dans le Royaume.

Ce qu'on ne sait pas, par contre, c'est que la Triplette du Wydad, constituée de Driss Joumad, feu Chtouki et feu Abdeslam, avait été sollicitée, dans les années quarante, pour jouer au FC Barcelone. La Triplette, entrée dans l'histoire du football mondial, à l'exception de l'Amérique Latine, faute de communication à l'époque, était très sollicitée par les meilleurs clubs européens. Le FC Barcelone avait offert, à l'époque 30 millions, une somme gigantesque qui équivaudrait aux milliards de nos jours. Mais c'est le Prince Moulay Hassan, feu SM Hassan II, qui s'était opposé au transfert des joueurs de la Triplette et s'était engagé à débourser la somme de son argent personnel. Le Roi défunt avait même tenu une réunion avec les dirigeants et les joueurs du WAC, dont Abdeslam pour lequel il avait une grande affection, pour leur rappeler le rôle réel du WAC, était d'abord au service de la cause nationale et l'indépendance du pays et non des transferts juteux. Le Prince Moulay Hassan avait peur que le départ de la Triplette ne mette fin aux exploits du WAC, flambeau du mouvement national, dans les compétitions d'Afrique du Nord, où les peuples du Maghreb s¹identifiaient à cette équipe «indigène», qui battait les équipes européennes et particulièrement les clubs alliés à la Résidence et aux autorités du Protectorat.

Voilà pour Barcelone, qui aurait certainement réussi d'autres exploits si la Triplette avait évolué au club de Cruijf, Reejkard et autres Gaillego, Martial et aujourd'hui Eto'o et Ronaldinho. M. Laporta acceptera-t-il le voeu des socios marocains du Barça de faire venir le leader du championnat espagnol au Maroc ?

Il est sûr que beaucoup de gens en rêvent et le souhaitent, car si le WAC a été politiquement engagé, contre les autorités coloniales, le Barça, lui, a combattu le franquisme, du temps de la dictature et a toujours été mal vu par le général Franco. D'ailleurs, quand le Barça battait le Réal, à l'époque des Perri et Gento, on y voyait une victoire de la démocratie contre le club préféré de Franco. Un point qui fait que le Barça est encore plus populaire parmi les associations de défense des droits de l'Homme, de la démocratie et du mouvement des Républicains espagnols, qui ont perdu la guerre civile, au profit du général dictateur.

Mais ce qu'on retiendra, avec cette visite de M. Laporta, c'est que beaucoup de Wydadis et de Rajaouis optent, enfin, pour une même couleur, ils oublient le rouge et le vert, pour la couleur du FC Barcelone. Wydadis et Rajaouis, même combat, qui l'aurait jamais cru.

Belaïd BOUIMID Source : www.albayane.ma[b][/b]

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